5 août 2008
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16:05
Je reste toujours ébahie par la formidable ouverture que peux apporter Internet. Lorsque j’ai pris mes fonctions de Directeur de la Communication de la Ville de la Teste de Buch, le site Internet de la Ville flanqué de son hippocampe calqué sur celui du club de rugby avait eu le mérite d’exister et sincèrement c’était vraiment tout, tellement il avait mal vieilli et tellement il était aussi figé qu’un rayonnage d’archives qui n’a pas vu le soleil depuis longtemps.
Lorsque Jean François Acot-Mirande m’a demandé de revoir la conception du site et sa maquette je savais d’expérience que l’enjeu était de taille. En effet je sais depuis que mon père sévi sur la toile avec "Mon Quotidien" qu’elle est l’importance de ce petit écran qui a vue sur le monde. Et je ne me suis pas trompée. J’ai eu la chance ( Merci au code des Marchés Publics ) de travailler sur ce site www.latestedebuch.fr avec l’entreprise Web Report de Benjamin Rosoor. De notre entente et de notre travail est né le site de la Ville de la Teste de Buch et je suis très fière de cet outil que j’ai laissé avec plaisir aux internautes testerins et du monde.
Très vite le nouveau site est devenu une fenêtre ouverte sur la ville, ouverte au monde et chaque jour des dizaine de messages arrivaient sur ma boite mail à la mairie. Il y avait des demandes en tout genre, des compliments, des insultes aussi ( sic ) mais surtout des demandes des exilés testerins soucieux de retrouver leurs racines. C’est comme cela que j’ai rencontré via le net Santiago. Cet habitant de l’Uruguay a entendu beaucoup d'histoires à propos de La Teste, par l'intermédiaire de son arrière-grand-mère, Amanda Ramond, qui a grandi avec son grand-père (Gérard Ramond) lui même émigré de La Teste avec sa femme (Marguerite Santuc) et son fils (Pierre Ramond). Les membres de la famille de Marguerite Sentuc ont été résiniers dans la forêt usagère.
Cet internaute, chercheur de racines a atterri sur la toile et grâce au travail de Daniele Polése, l’archiviste de la mairie et de son équipe il a maintenant tous les documents nécessaires pour reconstruire l'arbre généalogique de sa famille Testerine depuis 1791.
Aujourd’hui, il m’écrit : « J'ai essayé de trouver les descendants de la famille Ramond vivant encore aujourd'hui à La Teste. J'ai découvert qu'il existe une rue Clément Ramond, (le Maire de 1946), qui était probablement un cousin de mon arrière-grand-mère. Outre les histoires de «Abuela Amanda", j'ai appris beaucoup, beaucoup de choses à propos de La Teste, et j'ai une image claire sur la ville. Je suis en train de préparer un voyage pour l'année prochaine, afin que je puisse suivre les routes et les traces de mes ancêtres. » C’est magique !
J’ai moi aussi fait comme Santiago et un jour avec mon oncle et mon pére, nous avons commencé à chercher sur le net les origines des Darmian au-delà de l’Italie … et nous avons atterri en Perse … Les voyages forment la jeunesse …
Lorsque Jean François Acot-Mirande m’a demandé de revoir la conception du site et sa maquette je savais d’expérience que l’enjeu était de taille. En effet je sais depuis que mon père sévi sur la toile avec "Mon Quotidien" qu’elle est l’importance de ce petit écran qui a vue sur le monde. Et je ne me suis pas trompée. J’ai eu la chance ( Merci au code des Marchés Publics ) de travailler sur ce site www.latestedebuch.fr avec l’entreprise Web Report de Benjamin Rosoor. De notre entente et de notre travail est né le site de la Ville de la Teste de Buch et je suis très fière de cet outil que j’ai laissé avec plaisir aux internautes testerins et du monde.
Très vite le nouveau site est devenu une fenêtre ouverte sur la ville, ouverte au monde et chaque jour des dizaine de messages arrivaient sur ma boite mail à la mairie. Il y avait des demandes en tout genre, des compliments, des insultes aussi ( sic ) mais surtout des demandes des exilés testerins soucieux de retrouver leurs racines. C’est comme cela que j’ai rencontré via le net Santiago. Cet habitant de l’Uruguay a entendu beaucoup d'histoires à propos de La Teste, par l'intermédiaire de son arrière-grand-mère, Amanda Ramond, qui a grandi avec son grand-père (Gérard Ramond) lui même émigré de La Teste avec sa femme (Marguerite Santuc) et son fils (Pierre Ramond). Les membres de la famille de Marguerite Sentuc ont été résiniers dans la forêt usagère.
Cet internaute, chercheur de racines a atterri sur la toile et grâce au travail de Daniele Polése, l’archiviste de la mairie et de son équipe il a maintenant tous les documents nécessaires pour reconstruire l'arbre généalogique de sa famille Testerine depuis 1791.
Aujourd’hui, il m’écrit : « J'ai essayé de trouver les descendants de la famille Ramond vivant encore aujourd'hui à La Teste. J'ai découvert qu'il existe une rue Clément Ramond, (le Maire de 1946), qui était probablement un cousin de mon arrière-grand-mère. Outre les histoires de «Abuela Amanda", j'ai appris beaucoup, beaucoup de choses à propos de La Teste, et j'ai une image claire sur la ville. Je suis en train de préparer un voyage pour l'année prochaine, afin que je puisse suivre les routes et les traces de mes ancêtres. » C’est magique !
J’ai moi aussi fait comme Santiago et un jour avec mon oncle et mon pére, nous avons commencé à chercher sur le net les origines des Darmian au-delà de l’Italie … et nous avons atterri en Perse … Les voyages forment la jeunesse …